C'est le cas de Warren Buffett, célèbre gestionnaire du fond d'investissement Berkshire Hathaway. L'illustre investisseur, dont la moindre déclaration est analysée dans le détail par les boursicoteurs, n'aime pas le bitcoin et ses clones. La méfiance est de mise : sur la chaîne CNBC, il a ainsi prédit « une fin tragique » pour le bitcoin : « je peux dire avec une quasi-certitude [que les cryptomonnaies] finiront mal ». Sa firme d'investissement ne compte d'ailleurs pas acheter, ni vendre, de bitcoin.
Une position claire et ferme, que Warren Buffett explique simplement : « je rencontre suffisamment de problèmes sur des choses que je connais un peu, pourquoi prendrais-je une position sur quelque chose que je ne connais pas ? ». Le bitcoin et les cryptomonnaies sont techniquement effectivement assez complexes à appréhender. Le patron de Berkshire Hathaway a bâti sa fortune — elle se monte à 88 milliards de dollars — avec des investissements dans des entreprises à l'activité porteuse dont la valorisation est sous-estimée. Le bitcoin n'en fait donc pas partie.
Jamie Dimon a lui une autre lecture de ces cryptomonnaies. Le PDG de la banque J.P. Morgan Chase est revenu sur les propos qu'il tenait en septembre dernier, qualifiant le bitcoin d'escroquerie qui allait mal finir. Il a finalement regretté cette déclaration, en indiquant qu'il attendait la réaction des gouvernements quand le bitcoin deviendra « vraiment important ».
Une position claire et ferme, que Warren Buffett explique simplement : « je rencontre suffisamment de problèmes sur des choses que je connais un peu, pourquoi prendrais-je une position sur quelque chose que je ne connais pas ? ». Le bitcoin et les cryptomonnaies sont techniquement effectivement assez complexes à appréhender. Le patron de Berkshire Hathaway a bâti sa fortune — elle se monte à 88 milliards de dollars — avec des investissements dans des entreprises à l'activité porteuse dont la valorisation est sous-estimée. Le bitcoin n'en fait donc pas partie.
Jamie Dimon a lui une autre lecture de ces cryptomonnaies. Le PDG de la banque J.P. Morgan Chase est revenu sur les propos qu'il tenait en septembre dernier, qualifiant le bitcoin d'escroquerie qui allait mal finir. Il a finalement regretté cette déclaration, en indiquant qu'il attendait la réaction des gouvernements quand le bitcoin deviendra « vraiment important ».