Maintien de l’accessibilité tarifaire pour les Ouigo et les Intercités
Début décembre, Clément Beaune le ministre des Transports a annoncé un gel des tarifs des Ouigo et des Intercités pour l'année 2024, afin de rendre le train « abordable et populaire ». Une pause tarifaire qui intervient dans un contexte où l'accessibilité financière des transports en commun est devenue une priorité pour le gouvernement. Les Ouigo, réputés pour leurs prix compétitifs, et les Intercités, qui desservent de nombreuses destinations, resteront ainsi des options économiques pour les voyageurs.
Mais contrairement aux Ouigo et Intercités, le TGV Inoui, qui relie plus de 200 destinations en France et en Europe, connaîtra une augmentation tarifaire en 2024. Après une hausse de 5% en 2023, les prix des billets TGV Inoui subiront une nouvelle augmentation. Jean-Pierre Farandou, le PDG de la SNCF, a cependant assuré sur Franceinfo que cette hausse ne dépasserait pas le taux d'inflation, estimé entre 4 et 5 % pour l'année 2023. Cette décision vise à maintenir un équilibre entre la nécessité de couvrir les coûts croissants de l'entreprise et le maintien d'une offre tarifaire raisonnable pour les consommateurs.
Mais contrairement aux Ouigo et Intercités, le TGV Inoui, qui relie plus de 200 destinations en France et en Europe, connaîtra une augmentation tarifaire en 2024. Après une hausse de 5% en 2023, les prix des billets TGV Inoui subiront une nouvelle augmentation. Jean-Pierre Farandou, le PDG de la SNCF, a cependant assuré sur Franceinfo que cette hausse ne dépasserait pas le taux d'inflation, estimé entre 4 et 5 % pour l'année 2023. Cette décision vise à maintenir un équilibre entre la nécessité de couvrir les coûts croissants de l'entreprise et le maintien d'une offre tarifaire raisonnable pour les consommateurs.
Une augmentation alignée sur l’inflation pour les TGV Inoui
Les raisons de cette augmentation tarifaire sont multiples. D'une part, les coûts de fonctionnement de la SNCF devraient augmenter de 6% entre 2023 et 2024. Parmi les facteurs significatifs, l'augmentation du coût des péages ferroviaires, qui représente 40% du prix d'un billet TGV, pèse lourdement. Cette hausse des péages est directement répercutée sur les prix des billets. De plus, la SNCF prévoit des investissements substantiels, notamment l'acquisition de 100 nouvelles rames de TGV, qui seront mises en service à partir de 2025. Ces investissements sont essentiels pour augmenter la capacité sur les lignes les plus demandées, mais ils ont également un impact sur la structure tarifaire.
Malgré cette hausse modérée, la SNCF reste déterminée à proposer des options tarifaires avantageuses. Jean-Pierre Farandou a rappelé que le prix moyen d'un billet TGV est de 45 euros, inférieur au coût d'un taxi pour des trajets équivalents. L'année 2024 verra également la SNCF poursuivre le développement des trains Ouigo, dont les tarifs sont généralement compris entre 15 et 25 euros. L'objectif est d'augmenter la part des Ouigo dans l'offre globale de la SNCF, passant d'un quart à un tiers des places TGV disponibles.
Malgré cette hausse modérée, la SNCF reste déterminée à proposer des options tarifaires avantageuses. Jean-Pierre Farandou a rappelé que le prix moyen d'un billet TGV est de 45 euros, inférieur au coût d'un taxi pour des trajets équivalents. L'année 2024 verra également la SNCF poursuivre le développement des trains Ouigo, dont les tarifs sont généralement compris entre 15 et 25 euros. L'objectif est d'augmenter la part des Ouigo dans l'offre globale de la SNCF, passant d'un quart à un tiers des places TGV disponibles.