Au mois de mars, les dépenses de l’État ont été de 88,5 milliards d’euros ; c’est plus que l’an dernier à la même période, puisqu’à l’époque le gouvernement avait dépensé 85,7 milliards. Cependant, les recettes se sont améliorées (78,3 milliards), grâce notamment à la TVA qui a permis de récupérer 1,6 milliard supplémentaire. Les recettes non fiscales sont elles en baisse de 900 millions en raison des redevances d’usage des fréquences radioélectriques qui n’ont pas été reconduites.
Le déficit budgétaire de l’État s’est encore creusé : il s’établit à 29,6 milliards d’euros, selon les chiffre du ministère des Finances. En février, ce déficit se montait à 27,5 milliards. Ce creusement s’explique notamment par la recapitalisation d’EDF : le 8 mars, l’État a injecté 3 milliards d’euros. Sans cette somme, le solde s’améliorerait de 900 millions d’euros.
Mais voilà, l’entreprise a lancé une augmentation de capital de 4 milliards d’euros pour laquelle l’État, actionnaire principal, a apporté la plus grande partie. Sans incidence sur le déficit public, a assuré Michel Sapin le ministre des Finances… même s’il s’est creusé pour l’occasion.
Le déficit budgétaire de l’État s’est encore creusé : il s’établit à 29,6 milliards d’euros, selon les chiffre du ministère des Finances. En février, ce déficit se montait à 27,5 milliards. Ce creusement s’explique notamment par la recapitalisation d’EDF : le 8 mars, l’État a injecté 3 milliards d’euros. Sans cette somme, le solde s’améliorerait de 900 millions d’euros.
Mais voilà, l’entreprise a lancé une augmentation de capital de 4 milliards d’euros pour laquelle l’État, actionnaire principal, a apporté la plus grande partie. Sans incidence sur le déficit public, a assuré Michel Sapin le ministre des Finances… même s’il s’est creusé pour l’occasion.