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Ce projet de loi un peu fourre-tout touche aussi bien au travail dominical qu'à l'épargne salariale, en passant par la cession de participation de l'État ou encore à l'ouverture à la concurrence de certaines professions libérales.
Autant dire que la loi, dont le périmètre a beaucoup évolué depuis une première présentation par Arnaud Montebourg il y a quelques mois, est contestée de tous bords, y compris ceux venant du propre camp du gouvernement. Sont particulièrement remis en cause les douze ouvertures dominicales, au lieu de cinq actuellement. Des députés pourraient ne pas voter la loi en l'état, mais le gouvernement a prévu de négocier d'arrache pied pour obtenir le vote du projet en début d'année prochaine.
Un exercice de pédagogie devra également être fait auprès des professions libérales qui, à l'instar des avocats, huissiers et greffiers, sont vent debout contre la réforme. Des manifestations sont d'ailleurs prévues, dès ce mercredi, pour contester la loi.
Il en va de même des syndicats de salariés du commerce, qui veulent obtenir toutes les garanties possibles concernant le travail dominical. En revanche, le patronat a pu se satisfaire des mesures impulsées par Emmanuel Macron, qui vont « dans le bon sens ».
Autant dire que la loi, dont le périmètre a beaucoup évolué depuis une première présentation par Arnaud Montebourg il y a quelques mois, est contestée de tous bords, y compris ceux venant du propre camp du gouvernement. Sont particulièrement remis en cause les douze ouvertures dominicales, au lieu de cinq actuellement. Des députés pourraient ne pas voter la loi en l'état, mais le gouvernement a prévu de négocier d'arrache pied pour obtenir le vote du projet en début d'année prochaine.
Un exercice de pédagogie devra également être fait auprès des professions libérales qui, à l'instar des avocats, huissiers et greffiers, sont vent debout contre la réforme. Des manifestations sont d'ailleurs prévues, dès ce mercredi, pour contester la loi.
Il en va de même des syndicats de salariés du commerce, qui veulent obtenir toutes les garanties possibles concernant le travail dominical. En revanche, le patronat a pu se satisfaire des mesures impulsées par Emmanuel Macron, qui vont « dans le bon sens ».