Et cette chute a entraîné la démission du président du directoire de l’entreprise Claus-Dietrich Lahrs. C’est « sur sa demande » et par consentement mutuel que le dirigeant a abandonné son poste. À 52 ans, le dirigeant a fait carrière chez plusieurs grands noms du luxe comme Cartier ou encore Christian Dior, avant d’intégrer Hugo Boss en 2008.
Le groupe doit maintenant partir à la chasse au successeur, dans une atmosphère difficile. L’action Hugo Boss a flanché de 20% à la Bourse de Francfort, après l’avertissement sur résultats. L’entreprise a mis en place une nouvelle stratégie visant à regarnir les parts de marché en Asie : baisser les prix. Aux États-Unis, les livraisons auprès des grossistes vont être limitées afin de ne pas céder aux rabais très importants.
Une stratégie qui fait craindre aux investisseurs une érosion des marges. D’ailleurs, Hugo Boss renonce à son objectif de porter sa marge d’exploitation à 25% en 2016, tout comme il annonce une contraction de son bénéfice opérationnel ajusté pouvant aller jusqu’à -5%.
Le groupe doit maintenant partir à la chasse au successeur, dans une atmosphère difficile. L’action Hugo Boss a flanché de 20% à la Bourse de Francfort, après l’avertissement sur résultats. L’entreprise a mis en place une nouvelle stratégie visant à regarnir les parts de marché en Asie : baisser les prix. Aux États-Unis, les livraisons auprès des grossistes vont être limitées afin de ne pas céder aux rabais très importants.
Une stratégie qui fait craindre aux investisseurs une érosion des marges. D’ailleurs, Hugo Boss renonce à son objectif de porter sa marge d’exploitation à 25% en 2016, tout comme il annonce une contraction de son bénéfice opérationnel ajusté pouvant aller jusqu’à -5%.