Nissan devrait ainsi exiger de posséder un droit de vote chez Renault — malgré ses 15% de participation au capital de l'entreprise française, le japonais ne peut pas peser sur les décisions stratégiques. Il est même possible que Nissan réclame des droits de vote double, comme la loi Florange sur les actionnaires de long terme l'y autorise.
Le constructeur nippon veut également que l'État français abaisse sa participation à 15% du capital, comme le gouvernement s'y était d'ailleurs engagé après la prise de participation de 4% supplémentaires au printemps.
En revanche, Nissan accepterait de voir l'État français concentrer 28% des droits de vote pour 15% du capital. Si l'entreprise japonaise admet que l'alliance conclue avec le français a permis de redresser les comptes du groupe, « aujourd'hui, sur les 8,5 millions de voitures vendues par l'alliance, moins de trois millions sont produites par Renault », indique une source citée par l'hebdomadaire.
Le constructeur nippon veut également que l'État français abaisse sa participation à 15% du capital, comme le gouvernement s'y était d'ailleurs engagé après la prise de participation de 4% supplémentaires au printemps.
En revanche, Nissan accepterait de voir l'État français concentrer 28% des droits de vote pour 15% du capital. Si l'entreprise japonaise admet que l'alliance conclue avec le français a permis de redresser les comptes du groupe, « aujourd'hui, sur les 8,5 millions de voitures vendues par l'alliance, moins de trois millions sont produites par Renault », indique une source citée par l'hebdomadaire.