(c) Shutterstock/EconomieMatin
La SNCF a reçu le préavis de grève qui, au contraire des deux semaines du mouvement de juin dernier, n’a été déposé que la CGT et il n’est renouvelable. De fait, il court entre le 9 mars 19h et le 11 mars 8h. De quoi tout de même pourrir les journées des voyageurs.
La revendication du syndicat — le premier à la SNCF — porte sur les négociations concernant la réforme ferroviaire, entamée le 1er janvier. La réforme consiste à regrouper les quelques 149 000 salariés de l’entreprise et les 1 500 de RFF (Réseau Ferré de France), afin de faire de la SNCF une société plus agile et efficace.
Cependant, la CGT estime que la SNCF mène les négociations « à la hussarde ». « Nous assistons à une mise en oeuvre de la réforme à la hussarde, qui crée énormément de difficultés », d’après CGT-Cheminots. Il exige « l'ouverture de négociations sur la structuration » de la nouvelle entreprise, avec une « déclinaison unifiée sur le territoire » des trois entités qui composent le groupe.
« Les cheminots et les usagers paient le prix » de l’endettement du secteur, et la réforme n’en ferait rien. Pire, elle entraînerait « une recherche effrénée d'économies pour auto-financer la réforme » ainsi que des pertes d’emplois.
La revendication du syndicat — le premier à la SNCF — porte sur les négociations concernant la réforme ferroviaire, entamée le 1er janvier. La réforme consiste à regrouper les quelques 149 000 salariés de l’entreprise et les 1 500 de RFF (Réseau Ferré de France), afin de faire de la SNCF une société plus agile et efficace.
Cependant, la CGT estime que la SNCF mène les négociations « à la hussarde ». « Nous assistons à une mise en oeuvre de la réforme à la hussarde, qui crée énormément de difficultés », d’après CGT-Cheminots. Il exige « l'ouverture de négociations sur la structuration » de la nouvelle entreprise, avec une « déclinaison unifiée sur le territoire » des trois entités qui composent le groupe.
« Les cheminots et les usagers paient le prix » de l’endettement du secteur, et la réforme n’en ferait rien. Pire, elle entraînerait « une recherche effrénée d'économies pour auto-financer la réforme » ainsi que des pertes d’emplois.
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