
Obama est plus que jamais mis en difficulté pour faire passer sa réforme de santé.
Depuis mardi ils sont donc des millions à consulter les sites Internet mis en place par le gouvernement pour connaître si oui ou non ils peuvent prétendre à la couverture maladie universelle offerte par l'État (réservée aux revenus très faibles) ou à l'assurance maladie bon marché privée garantie par l'État (pour les revenus un peu plus élevés, les revenus bien supérieurs devant souscrire à une assurance privée classique) à partir du 1er janvier 2014. Au point que ces sites connaissent aujourd'hui de nombreux problèmes tecniques.
Obama y voit comme un blanc-seing pour sa mesure phare. Les républicains, de leur côté, estiment que ces dysfonctionnements informatiques démontrent que l'administration n'est pas prête à assurer une telle mission. Il faut dire que le président américain se bat depuis le début de son premier mandat contre le parti républicain pour imposer cette réforme polémique et couteuse. Depuis quelques jours, il tente même de maintenir coute que coute le financement de cette mesure.
Mais depuis que les républicains de la Chambre des représentants refusent de voter le budget temporaire, marquant ainsi leur opposition à l'Obamacare, le pays est en partie figé. Le "shutdown" que connaissent actuellement les Etats-Unis vient de condamner 800 000 fonctionnaires aux vacances forcées. L'entêtement des uns, représentants républicains opposés à l'Obamacare, et des autres, sénateurs démocrates décidés à budgétiser la réforme, va donc faire perdre au pays une flopée de dollars...
Mais le pire reste encore à venir. Le 17 octobre prochain, le plafond légal de la dette, fixé à 16 700 milliards de dollars, sera atteint. A partir de cette date, les Etats-Unis ne pourront plus, légalement, emprunter d'argent et le Trésor devra financer le gouvernement avec les seules liquidités dont il disposera. Il faudra donc relever ce plafond. Les débats financiers ne sont définitivement pas clos à Washington...
Obama y voit comme un blanc-seing pour sa mesure phare. Les républicains, de leur côté, estiment que ces dysfonctionnements informatiques démontrent que l'administration n'est pas prête à assurer une telle mission. Il faut dire que le président américain se bat depuis le début de son premier mandat contre le parti républicain pour imposer cette réforme polémique et couteuse. Depuis quelques jours, il tente même de maintenir coute que coute le financement de cette mesure.
Mais depuis que les républicains de la Chambre des représentants refusent de voter le budget temporaire, marquant ainsi leur opposition à l'Obamacare, le pays est en partie figé. Le "shutdown" que connaissent actuellement les Etats-Unis vient de condamner 800 000 fonctionnaires aux vacances forcées. L'entêtement des uns, représentants républicains opposés à l'Obamacare, et des autres, sénateurs démocrates décidés à budgétiser la réforme, va donc faire perdre au pays une flopée de dollars...
Mais le pire reste encore à venir. Le 17 octobre prochain, le plafond légal de la dette, fixé à 16 700 milliards de dollars, sera atteint. A partir de cette date, les Etats-Unis ne pourront plus, légalement, emprunter d'argent et le Trésor devra financer le gouvernement avec les seules liquidités dont il disposera. Il faudra donc relever ce plafond. Les débats financiers ne sont définitivement pas clos à Washington...