Plus de 400 millions de chiffres d'affaires annuel
Dans l'incapacité de réunir les fonds suffisants pour sa survie, le voyagiste britannique Thomas Cook a fait faillite, entraînant dans sa suite les différents réseaux nationaux d'agences de voyage affiliées. C'est le cas de Thomas Cook France, qui a annoncé ce mardi 1er octobre son placement en redressement judiciaire auprès du tribunal de commerce de Nanterre. La procédure devrait permettre à l'entreprise de trouver un repreneur sérieux rapidement.
« L'objectif est d'assurer la continuité de l'activité de l'entité française et d'avancer rapidement sur une solution de reprise sous la protection du tribunal », explique la filiale française du voyagiste. Thomas Cook France emploie 780 employés dans l'Hexagone, elle est à la tête de 172 agences de voyage en propre. Son chiffre d'affaires annuel s'établit à 425 millions d'euros.
« L'objectif est d'assurer la continuité de l'activité de l'entité française et d'avancer rapidement sur une solution de reprise sous la protection du tribunal », explique la filiale française du voyagiste. Thomas Cook France emploie 780 employés dans l'Hexagone, elle est à la tête de 172 agences de voyage en propre. Son chiffre d'affaires annuel s'établit à 425 millions d'euros.
Plusieurs repreneurs intéressés
Bref, il s'agit d'une affaire qui marche bien et d'une machine parfaitement huilée qui se présentent aux investisseurs et aux repreneurs. La date de limite du dépôt des offres est fixée au 22 octobre au soir. C'est le 5 novembre prochain que le tribunal fera connaitre son avis sur les dossiers qui auront été déposés.
Thomas Cook France n'a visiblement pas beaucoup de craintes à avoir : selon le communiqué, l'entreprise assure que « plusieurs repreneurs potentiels sérieux du secteur du tourisme ont déjà fait part de leur fort intérêt ». Elle attend également des manifestations de marques d'intérêt provenant d'autres repreneurs.
Thomas Cook France n'a visiblement pas beaucoup de craintes à avoir : selon le communiqué, l'entreprise assure que « plusieurs repreneurs potentiels sérieux du secteur du tourisme ont déjà fait part de leur fort intérêt ». Elle attend également des manifestations de marques d'intérêt provenant d'autres repreneurs.