La Fédération des exportateurs de vins et spiritueux peut sabler le champagne : 2015 a été une année record en termes de valeur. Le secteur a exporté pour 11,7 milliards d’euros l’an dernier, une performance quand on sait que les exportations avaient piqué du nez en 2013 et 2014. D’une année sur l’autre, la croissance des ventes s’établit à 8,7%.
Le secteur a particulièrement bénéficié de la baisse de l’euro, ainsi que du regain d’intérêt pour le champagne et le cognac. Le champagne en particulier a connu en 2015 une croissance de ses ventes de 4,8%. Les vins dit « tranquilles » (sans bulles) restent toujours un ton en dessous, à cause d’une offre insuffisante.
Il y a toutefois un nuage dans ces bonnes nouvelles. Les volumes sont en baisse : les 188 millions de caisses vendues l’an dernier accusent un repli de 3,6%. Le vin hors champagne souffre tout particulièrement avec une baisse de 5,2%. Les vins et spiritueux français sont en concurrence frontale avec les produits du nouveau monde, tout particulièrement le Chili et l’Australie, très agressifs.
Le secteur a particulièrement bénéficié de la baisse de l’euro, ainsi que du regain d’intérêt pour le champagne et le cognac. Le champagne en particulier a connu en 2015 une croissance de ses ventes de 4,8%. Les vins dit « tranquilles » (sans bulles) restent toujours un ton en dessous, à cause d’une offre insuffisante.
Il y a toutefois un nuage dans ces bonnes nouvelles. Les volumes sont en baisse : les 188 millions de caisses vendues l’an dernier accusent un repli de 3,6%. Le vin hors champagne souffre tout particulièrement avec une baisse de 5,2%. Les vins et spiritueux français sont en concurrence frontale avec les produits du nouveau monde, tout particulièrement le Chili et l’Australie, très agressifs.