Pour Arnaud Montebourg, c'est simple : "les Français et les européens sont sur la mauvaise pente" et il va falloir redresser le tir. Sinon lors des présidentielles de 2017 en France, soit à la fin du quinquennat de François Hollande, quelque chose de surprenant et d'inquiétant pourrait survenir : la montée du FN pourrait se concrétiser.
La politique du gouvernement est "suicidaire" pour l'ancien ministre qui lance un "appel solennel" à tous les membres du gouvernement et aux politiques européens. Il leur demande de "cesser ces erreurs de politique économique". S'ils ne le font pas, voilà ce que prédit Arnaud Montebourg :
"Nous finirons le quinquennat avec 800 000 chômeurs de plus. Donc c'est le Front National au bout du chemin". Une prophétie qui pourrait se réaliser, le Front National étant crédité de bons scores aux prochaines départementales.
Une mauvaise nouvelle pour François Hollande sur qui pèse encore un risque de sanction économique de la part de l’Union Européenne pour les résultats, non atteints, de réduction des déficits dans le cadre du Pacte de Stabilité. La sanction, qui peut atteindre 4 milliards d'euros, tombera, si elle tombe, fin février. Paris et Bruxelles sont en train de fortement discuter à ce sujet, le Commissaire aux Affaires Economiques de l'Union Européenne n'étant personne d'autre que l'ancien ministre de l'Economie Pierre Moscovici.
La politique du gouvernement est "suicidaire" pour l'ancien ministre qui lance un "appel solennel" à tous les membres du gouvernement et aux politiques européens. Il leur demande de "cesser ces erreurs de politique économique". S'ils ne le font pas, voilà ce que prédit Arnaud Montebourg :
"Nous finirons le quinquennat avec 800 000 chômeurs de plus. Donc c'est le Front National au bout du chemin". Une prophétie qui pourrait se réaliser, le Front National étant crédité de bons scores aux prochaines départementales.
Une mauvaise nouvelle pour François Hollande sur qui pèse encore un risque de sanction économique de la part de l’Union Européenne pour les résultats, non atteints, de réduction des déficits dans le cadre du Pacte de Stabilité. La sanction, qui peut atteindre 4 milliards d'euros, tombera, si elle tombe, fin février. Paris et Bruxelles sont en train de fortement discuter à ce sujet, le Commissaire aux Affaires Economiques de l'Union Européenne n'étant personne d'autre que l'ancien ministre de l'Economie Pierre Moscovici.