Le 1er janvier marque la hausse de la CSG. La contribution sociale généralisée va ainsi augmenter de 1,7 point, une mesure qui garantira le financement de la protection sociale. En échange, le gouvernement va redonner du pouvoir d'achat à quelques 21 millions de salariés français, en baissant plusieurs cotisations salariales. Une baisse en deux temps cependant : d'abord en janvier, puis cet automne. Si les fonctionnaires bénéficieront d'une compensation intégrale, ce ne sera pas le cas pour tous les retraités : 60% d'entre eux subiront une baisse de leurs pensions.
Le salaire minimum va lui augmenter, mais d'une hausse automatique de 1,24% sans coup de pouce. Le Smic approchera donc encore plus du seuil des 1 500 euros mensuels brut, puisqu'il se montera à 1 498 euros. Les prix de plusieurs énergies vont également progresser de manière sensible. C'est le cas du gaz, avec des tarifs réglementés qui augmentent de 6,9% en moyenne, en raison de la hausse d'une taxe. Coup de massue aussi pour le diesel, avec un prix en hausse de 10% à la pompe, soit 7,6 centimes par litre. Cette hausse est due à l'augmentation de la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) et à l'application de la taxe carbone, étendue au diesel.
Les ménages aux revenus les plus modestes — 4 millions environ — recevront au printemps un « chèque énergie » d'un montant de 200 euros annuels. Une somme qui couvrira une partie des factures d'énergie. Ce dispositif remplace les tarifs sociaux du gaz et de l'électricité. Enfin, la baisse la plus notable de ce 1er janvier est celle portant sur… le tabac. Plusieurs paquets de cigarettes (Winston et Camel) coûteront moins cher, 20 centimes de moins. Un répit qui sera de courte durée : une augmentation sur le tabac aura lieu dès le mois de mars.
Le salaire minimum va lui augmenter, mais d'une hausse automatique de 1,24% sans coup de pouce. Le Smic approchera donc encore plus du seuil des 1 500 euros mensuels brut, puisqu'il se montera à 1 498 euros. Les prix de plusieurs énergies vont également progresser de manière sensible. C'est le cas du gaz, avec des tarifs réglementés qui augmentent de 6,9% en moyenne, en raison de la hausse d'une taxe. Coup de massue aussi pour le diesel, avec un prix en hausse de 10% à la pompe, soit 7,6 centimes par litre. Cette hausse est due à l'augmentation de la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) et à l'application de la taxe carbone, étendue au diesel.
Les ménages aux revenus les plus modestes — 4 millions environ — recevront au printemps un « chèque énergie » d'un montant de 200 euros annuels. Une somme qui couvrira une partie des factures d'énergie. Ce dispositif remplace les tarifs sociaux du gaz et de l'électricité. Enfin, la baisse la plus notable de ce 1er janvier est celle portant sur… le tabac. Plusieurs paquets de cigarettes (Winston et Camel) coûteront moins cher, 20 centimes de moins. Un répit qui sera de courte durée : une augmentation sur le tabac aura lieu dès le mois de mars.
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