Les syndicats s’attendaient déjà à une coupe claire de 1 000 postes supprimés, mais ce chiffre devrait être encore plus élevé puisque l’on parle maintenant de près de 300 emplois supplémentaires. Ce sont surtout les secteurs des ressources humaines, de la finance, de la communication et des achats qui seront les plus touchés, croient savoir les organisations de personnels.
Le plan, qui sera dévoilé ce mardi dans le cadre de la réunion du comité européen d’Airbus, a été baptisé Gémini. Il intervient dans le cadre de la fusion entre la maison mère et sa filiale aéronautique, une opération qui a nécessité des années de discussions avant d’aboutir. Des licenciements secs ne seraient pas exclus, croient savoir les syndicats, notamment sur le site de Suresnes (650 postes). Airbus emploie 54 000 personnes en France.
La direction d’Airbus joue la carte de l’apaisement. Fabrice Brégier, son PDG, assure que la « tradition de dialogue social » de l’entreprise sera de mise encore une fois. Le précédent plan de restructuration avait occasionné la suppression de 7 900 postes, sans licenciement sec. Reste qu’avec un carnet de commandes qui atteint mille milliards d’euros, il va falloir beaucoup de pédagogie pour faire comprendre les motivations derrière ce nouveau plan.
Le plan, qui sera dévoilé ce mardi dans le cadre de la réunion du comité européen d’Airbus, a été baptisé Gémini. Il intervient dans le cadre de la fusion entre la maison mère et sa filiale aéronautique, une opération qui a nécessité des années de discussions avant d’aboutir. Des licenciements secs ne seraient pas exclus, croient savoir les syndicats, notamment sur le site de Suresnes (650 postes). Airbus emploie 54 000 personnes en France.
La direction d’Airbus joue la carte de l’apaisement. Fabrice Brégier, son PDG, assure que la « tradition de dialogue social » de l’entreprise sera de mise encore une fois. Le précédent plan de restructuration avait occasionné la suppression de 7 900 postes, sans licenciement sec. Reste qu’avec un carnet de commandes qui atteint mille milliards d’euros, il va falloir beaucoup de pédagogie pour faire comprendre les motivations derrière ce nouveau plan.
Inscription Newsletter
