Pôle Emploi en France et les autres agences en charge du suivi des chômeurs et de leurs dossiers administratif dans le monde ont divers moyens pour vérifier que les chômeurs en question, surtout ceux qui touchent des indemnités, ont effectivement recherché un emploi de manière constante et efficace. En cas de faute, elles peuvent décider de sanctionner les demandeurs.
Cette pratique n’a toutefois pas que des points positifs. Si en règle générale elle permet effectivement de trouver un emploi plus rapidement, comme en attestent les études menées dans en Belgique qui pont montré que « la menace d'un contrôle augmente la probabilité d'emploi des travailleurs les plus employables de 27,5% à 39% », cela est contrebalancé par la qualité de l’emploi trouvé.
En effet, les sanctions monétaires qui peuvent être infligées aux demandeurs d’emploi dans certains pays entraînent l’acceptation d’emplois moins stables et moins bien payés. C’est ce qu’a montré une étude suédoise : le demandeur a 15% de chances de plus d’accepter un emploi à temps partiels et, en moyenne, les salaires sont 4% plus bas dans le nouveau travail que dans l’ancien.
Cela s’explique aussi par la typologie des personnes sur lesquelles ces sanctions sont les plus efficaces : les femmes sont les plus concernées et les sanctions permettent une augmentation du taux de sortie de chômage de 47%. De même, les hommes mariés sont plus réceptifs que les hommes sans enfants.
Toutefois, les études menées au Royaume-Uni ont également montré que ces sanctions ne sont efficaces que sur les personnes les plus « employables » mais que sur les demandeurs ayant des problèmes personnels sérieux les sanctions n’ont « pas eu d’impact sur l’intensité de leurs recherches. »
Cette pratique n’a toutefois pas que des points positifs. Si en règle générale elle permet effectivement de trouver un emploi plus rapidement, comme en attestent les études menées dans en Belgique qui pont montré que « la menace d'un contrôle augmente la probabilité d'emploi des travailleurs les plus employables de 27,5% à 39% », cela est contrebalancé par la qualité de l’emploi trouvé.
En effet, les sanctions monétaires qui peuvent être infligées aux demandeurs d’emploi dans certains pays entraînent l’acceptation d’emplois moins stables et moins bien payés. C’est ce qu’a montré une étude suédoise : le demandeur a 15% de chances de plus d’accepter un emploi à temps partiels et, en moyenne, les salaires sont 4% plus bas dans le nouveau travail que dans l’ancien.
Cela s’explique aussi par la typologie des personnes sur lesquelles ces sanctions sont les plus efficaces : les femmes sont les plus concernées et les sanctions permettent une augmentation du taux de sortie de chômage de 47%. De même, les hommes mariés sont plus réceptifs que les hommes sans enfants.
Toutefois, les études menées au Royaume-Uni ont également montré que ces sanctions ne sont efficaces que sur les personnes les plus « employables » mais que sur les demandeurs ayant des problèmes personnels sérieux les sanctions n’ont « pas eu d’impact sur l’intensité de leurs recherches. »