La clause de parité, qui oblige les professionnels de l’hôtellerie à proposer les mêmes prix de nuitées pour tous les sites (une clause imposée par Booking qui se répercute sur l’ensemble des sites), a vécu. À partir du 1er juillet, les hôtels peuvent fixer leurs prix comme ils l’entendront, notamment par rapport aux commissions prélevées par les centrales de réservations en ligne.
Voilà qui sera de nature à pousser les sites comme Booking.com (qui prélève jusqu’à 22% du prix d’une nuitée), mais également ses concurrents comme Expedia, à se montrer plus intéressants pour capter le maximum du volume des chambres proposées par les hôteliers. Ces derniers pourront aussi décider de n’allouer aucune nuitée à tel ou tel site.
Les hôtels pourront aussi pousser la clientèle à passer en direct afin d’obtenir des prix encore plus intéressants, et leur proposer des offres d’affiliation. De quoi couper l’herbe sous le pied d’un Booking.com un peu trop certain de sa force sur le marché. Les professionnels y gagnent en souplesse. Et à terme, c’est toute l’Europe qui devrait en profiter puisque les autorités de la concurrence italienne et suédoise ont épaulé leur homologue française dans cette histoire.
Voilà qui sera de nature à pousser les sites comme Booking.com (qui prélève jusqu’à 22% du prix d’une nuitée), mais également ses concurrents comme Expedia, à se montrer plus intéressants pour capter le maximum du volume des chambres proposées par les hôteliers. Ces derniers pourront aussi décider de n’allouer aucune nuitée à tel ou tel site.
Les hôtels pourront aussi pousser la clientèle à passer en direct afin d’obtenir des prix encore plus intéressants, et leur proposer des offres d’affiliation. De quoi couper l’herbe sous le pied d’un Booking.com un peu trop certain de sa force sur le marché. Les professionnels y gagnent en souplesse. Et à terme, c’est toute l’Europe qui devrait en profiter puisque les autorités de la concurrence italienne et suédoise ont épaulé leur homologue française dans cette histoire.