Bouygues Telecom a été fortement impacté par l’arrivée, en janvier 2012, de Free Mobile en tant que quatrième opérateur du secteur en France. Les deux groupes se positionnaient plus ou moins sur la même part de marché mais les prix de Free Mobile, très agressifs, ont convaincu les clients de Bouygues. Selon les chiffres avancés par le groupe il aurait perdu 200 000 clients en deux ans.
Pour faire face aux prix concurrentiels de Free, Bouygues a donc également lancé son offre low-cost exclusivement disponible sur Internet : B&You. Une offre qui a su convaincre puisque 18% de son parc abonnés l’a choisie, mais qui a fait chuter le revenu par abonné de la société. En crise, Bouygues a donc dû réagir.
En avril 2014, Martin Bouygues avait tout fait pour essayer de s’emparer de l’opérateur SFR mis en vente par Vivendi. Avec un montage dont faisait partie Free, il avait fait une offre intéressante mais au final c’est Numericable qui aura gagné la partie, et ce malgré les réticences du gouvernement, notamment d’Arnaud Montebourg.
Sans autres flèches à son arc, Bouygues Telecom, pour se relancer, n’a pas eu d’autres choix que d’annoncer un possible plan de licenciements. Selon les syndicats du groupe, Bouygues Telecom devrait se séparer d’environ 23% de ses effectifs.
Actuellement, Bouygues Telecom emploie 9 000 personnes et le plan de licenciements pourrait concerner entre 1 500 et 2 000 personnes en France. Un nouveau coup dur pour le gouvernement.
Pour faire face aux prix concurrentiels de Free, Bouygues a donc également lancé son offre low-cost exclusivement disponible sur Internet : B&You. Une offre qui a su convaincre puisque 18% de son parc abonnés l’a choisie, mais qui a fait chuter le revenu par abonné de la société. En crise, Bouygues a donc dû réagir.
En avril 2014, Martin Bouygues avait tout fait pour essayer de s’emparer de l’opérateur SFR mis en vente par Vivendi. Avec un montage dont faisait partie Free, il avait fait une offre intéressante mais au final c’est Numericable qui aura gagné la partie, et ce malgré les réticences du gouvernement, notamment d’Arnaud Montebourg.
Sans autres flèches à son arc, Bouygues Telecom, pour se relancer, n’a pas eu d’autres choix que d’annoncer un possible plan de licenciements. Selon les syndicats du groupe, Bouygues Telecom devrait se séparer d’environ 23% de ses effectifs.
Actuellement, Bouygues Telecom emploie 9 000 personnes et le plan de licenciements pourrait concerner entre 1 500 et 2 000 personnes en France. Un nouveau coup dur pour le gouvernement.