Résultat : tout le monde courtise Snap, comme par exemple Facebook qui, en 2013, avait mis trois millards de dollars pour s’emparer de la toute jeune start-up. Sans succès. Et c’était bien vu à l’époque de la part de la direction de Snap : l’entreprise est en effet valorisée au delà de 25 milliards de dollars… C’est du moins la somme à laquelle la société pourrait être introduite en Bourse au printemps prochain !
Cette entrée en Bourse est dans les projets de Snap depuis un moment, mais celui-ci s’est accéléré récemment puisque l’entreprise a mandaté deux banques d’affaires (Morgan Stanley et Goldman Sachs) pour faire le aboutir. Et les investisseurs sont clairement demandeurs du réseau social.
En attendant, chacun tente de se positionner. C’est le cas de Google, qui a investi dans Snap par le biais de CapitalG, une filiale de capital-risque d’Alphabet, la maison-mère qui chapeaute Google et toutes les activités du groupe. On ignore le montant injecté dans Snap, mais Alphabet ne veut certainement pas passer à côté de l’opportunité de peser dans l’avenir de Snap.
Cette entrée en Bourse est dans les projets de Snap depuis un moment, mais celui-ci s’est accéléré récemment puisque l’entreprise a mandaté deux banques d’affaires (Morgan Stanley et Goldman Sachs) pour faire le aboutir. Et les investisseurs sont clairement demandeurs du réseau social.
En attendant, chacun tente de se positionner. C’est le cas de Google, qui a investi dans Snap par le biais de CapitalG, une filiale de capital-risque d’Alphabet, la maison-mère qui chapeaute Google et toutes les activités du groupe. On ignore le montant injecté dans Snap, mais Alphabet ne veut certainement pas passer à côté de l’opportunité de peser dans l’avenir de Snap.