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Car rien n’est jamais simple dans cette partie de poker menteur. Si le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a estimé que cette demande constituait un signal positif, d’autres dirigeants européens n’ont pas du tout la même vision des choses. Il en va ainsi du ministre des Finances allemand, Martin Jäger, qui pense lui que le plan grec ne représentait pas une solution suffisante et qu’il ne répondait pas aux critères.
La décision de l’Eurogroupe devrait être connue ce vendredi 20 février. Le gouvernement d’Alexis Tsipras met évidemment la pression, expliquant qu’à l’issue de la réunion, on saura qui veut une solution, et qui n’en veut pas. Pourtant, ce dernier accepte la supervision de ce qu’il ne nomme pas la troïka, mais qui est pourtant constitué de l’UE, du FMI et de la BCE. Pendant six mois, la Grèce promet ainsi de respecter l’équilibre budgétaire.
En revanche, il souhaite aussi pouvoir abaisser le niveau d’excédent primaire du budget jusqu’à la fin de l’année prochaine, relever le maximum d’émissions de bons du Trésor, et commencer à mettre en place ses promesses de campagne. Pas question de baisser encore les retraites ou de relever la TVA. Le bras de fer se poursuit donc.
La décision de l’Eurogroupe devrait être connue ce vendredi 20 février. Le gouvernement d’Alexis Tsipras met évidemment la pression, expliquant qu’à l’issue de la réunion, on saura qui veut une solution, et qui n’en veut pas. Pourtant, ce dernier accepte la supervision de ce qu’il ne nomme pas la troïka, mais qui est pourtant constitué de l’UE, du FMI et de la BCE. Pendant six mois, la Grèce promet ainsi de respecter l’équilibre budgétaire.
En revanche, il souhaite aussi pouvoir abaisser le niveau d’excédent primaire du budget jusqu’à la fin de l’année prochaine, relever le maximum d’émissions de bons du Trésor, et commencer à mettre en place ses promesses de campagne. Pas question de baisser encore les retraites ou de relever la TVA. Le bras de fer se poursuit donc.