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Le gouvernement de Matteo Renzi compte beaucoup sur le Jobs Act, une loi dont les effets ont commencé à porter leurs fruits. Ainsi, au cours des sept derniers mois, l'économie italienne a créé 100 000 nouveaux emplois. Sur 12 mois, l'Italie en a créé 235 000. Au vu du taux de chômage toujours très élevé, il n'y a pas de quoi pavoiser pour autant, mais le cocktail concocté par le gouvernement — et rejeté par une partie de la gauche et les syndicats — a au moins le mérite de faire bouger les lignes.
Le Jobs Act offre ainsi une plus grande souplesse pour les employeurs, qui peuvent licencier plus facilement pendant leurs trois premières années de contrat de leurs salariés, tout en allégeant les charges sociales pour les sociétés qui embauchent en contrat indéterminée. L'idée est de pousser les entreprises à embaucher de manière plus stable, en réduisant d'autant les contrats précaires.
Le Jobs Act a aussi pour objectif d'abaisser le coût de l'embauche à durée indéterminée, un coût que le gouvernement veut moins élevé que pour les autres contrats. Un pari sur la qualité plutôt que sur la quantité qui doit encore faire ses preuves, ce d'autant que cette loi coûte très cher aux finances de l'État italien : 15 milliards d'euros sur trois ans.
Le Jobs Act offre ainsi une plus grande souplesse pour les employeurs, qui peuvent licencier plus facilement pendant leurs trois premières années de contrat de leurs salariés, tout en allégeant les charges sociales pour les sociétés qui embauchent en contrat indéterminée. L'idée est de pousser les entreprises à embaucher de manière plus stable, en réduisant d'autant les contrats précaires.
Le Jobs Act a aussi pour objectif d'abaisser le coût de l'embauche à durée indéterminée, un coût que le gouvernement veut moins élevé que pour les autres contrats. Un pari sur la qualité plutôt que sur la quantité qui doit encore faire ses preuves, ce d'autant que cette loi coûte très cher aux finances de l'État italien : 15 milliards d'euros sur trois ans.