Microsoft voudrait racheter Discord
La rumeur s’est répandue comme une traînée de poudre chez les quelque 150 millions d’utilisateurs les plus attachés à l’indépendance de Discord : Microsoft aurait dans l’idée de racheter Discord. Une décision logique : très prisée par les joueurs, l’offre pourrait compléter la volonté de Microsoft de se renforcer dans le domaine en forte croissance des jeux vidéo. En 2020, Microsoft s’était déjà offerte le studio Bethesda, aux titres mondialement connus, pour produire, entre autres, des jeux-vidéo réservés à sa console Xbox.
Selon l’agence Bloomberg, qui a révélé l’information, le géant fondé par Bill Gates pourrait mettre sur la table la coquette somme de 10 milliards de dollars, voire plus, ce qui serait même supérieur à ce qu’il a déboursé pour Bethesda. Mais rien ne serait décidé.
Selon l’agence Bloomberg, qui a révélé l’information, le géant fondé par Bill Gates pourrait mettre sur la table la coquette somme de 10 milliards de dollars, voire plus, ce qui serait même supérieur à ce qu’il a déboursé pour Bethesda. Mais rien ne serait décidé.
Discord plutôt tentée par une introduction en Bourse
Pour Microsoft, l’enjeu est majeur : là où Microsoft Teams est destiné aux visioconférences et discussions professionnelles, également en forte croissance du fait du télétravail qui se généralise, Discord pourrait se présenter comme le penchant privé de l’offre. D’autant plus que le groupe a subi un revers majeur il y a une dizaine d’années après la fin de MSN Messenger en 2013, qui a fusionné avec Skype mais n’a pas su conserver son public.
Sauf que les fondateurs de Discord auraient plutôt l’intention de rester indépendants et pencheraient pour une introduction en Bourse pour lever des fonds, plutôt que pour un rachat, toujours selon Bloomberg. Mais, comme toujours, les sommes en jeu sont en mesure de changer la donne.
Sauf que les fondateurs de Discord auraient plutôt l’intention de rester indépendants et pencheraient pour une introduction en Bourse pour lever des fonds, plutôt que pour un rachat, toujours selon Bloomberg. Mais, comme toujours, les sommes en jeu sont en mesure de changer la donne.