
L'Autorité de la Concurrence estime que la mesure "introduirait une distorsion de concurrence ayant des conséquences très négatives sur l'activité économique des sociétés de VTC". A l'inverse, les taxis, qui doivent faire l'acquisition d'une licence coûtant jusqu'à 250 000 euros sur Paris, et soumis à numerus clausus, dénoncent la concurrence déloyale des VTC, qui peuvent conquérir de plus en plus facilement des clients grâce à la réservation par téléphone et désormais, sur smartphone.
L'avis de l'Autorité de la Concurrence n'est que consultatif, mais va placer dans l'embarras le gouvernement, qui ne souhaite pas se mettre à dos les taxis, capables de mobilisations d'envergures comme c'est déjà arrivé dans le passé. Les taxis ont certes encore seuls le privilège de pouvoir charger un client à une station, ou qui les interpellerait dans la rue, mais l'arrivée massive des applications sur smartphones, comme Uber, permettant de visualiser les voitures disponibles autour de sa position et d'en commander une d'un clic change la donne.
Au dernier pointage, il y aurait 10000 voitures de tourisme avec chauffeur en France, dont une grande partie à Paris, à comparer aux 17 000 licences de taxis sur la capitale.
L'avis de l'Autorité de la Concurrence n'est que consultatif, mais va placer dans l'embarras le gouvernement, qui ne souhaite pas se mettre à dos les taxis, capables de mobilisations d'envergures comme c'est déjà arrivé dans le passé. Les taxis ont certes encore seuls le privilège de pouvoir charger un client à une station, ou qui les interpellerait dans la rue, mais l'arrivée massive des applications sur smartphones, comme Uber, permettant de visualiser les voitures disponibles autour de sa position et d'en commander une d'un clic change la donne.
Au dernier pointage, il y aurait 10000 voitures de tourisme avec chauffeur en France, dont une grande partie à Paris, à comparer aux 17 000 licences de taxis sur la capitale.