Une révision à la hausse de la croissance française
La France peut se réjouir d'une nouvelle positive en matière économique. L'OCDE a révisé à la hausse sa prévision de croissance pour l’Hexagone, ce 19 septembre 2023. Cette révision est une indication que l'économie française est sur la voie de la reprise. Elle conforte, en outre, la prévision également relevée de la Banque de France publiée la veille et qui table sur 0,9% de hausse du PIB pour la France en 2023.
Désormais, pour 2023, l’OCDE prévoit un PIB en hausse de 1%. C’est la même prévision que celle de Bercy sur laquelle a été calculé le Budget. L’augmentation de la prévision pour 2023 est notable : +0,2%. Néanmoins, alors qu’en juin 2023, date de la précédente analyse, l’OCDE tablait sur 1,3% de croissance pour l’Hexagone en 2024, cette prévision est revue légèrement à la baisse à 1,2%.
Désormais, pour 2023, l’OCDE prévoit un PIB en hausse de 1%. C’est la même prévision que celle de Bercy sur laquelle a été calculé le Budget. L’augmentation de la prévision pour 2023 est notable : +0,2%. Néanmoins, alors qu’en juin 2023, date de la précédente analyse, l’OCDE tablait sur 1,3% de croissance pour l’Hexagone en 2024, cette prévision est revue légèrement à la baisse à 1,2%.
La zone euro en difficultés en 2023
Alors que pour la France les prévisions sont plus optimistes, ce n’est pas forcément le cas du reste de la zone euro. La croissance globale devrait atteindre 0,6% seulement en 2023. Mais elle rebondira, selon l’OCDE, à 1,1% pour l’ensemble de la zone euro en 2024.
Concernant la croissance mondiale, l’OCDE table désormais sur 3% en 2023, puis à une légère baisse en 2024 où elle ne serait que de 2,7%. « L'impact du resserrement des politiques monétaires devient de plus en plus visible, la confiance des entreprises et des consommateurs s'est dégradée et le rebond en Chine s'est estompé », analyse l’institution pour expliquer le ralentissement attendu.
Concernant la croissance mondiale, l’OCDE table désormais sur 3% en 2023, puis à une légère baisse en 2024 où elle ne serait que de 2,7%. « L'impact du resserrement des politiques monétaires devient de plus en plus visible, la confiance des entreprises et des consommateurs s'est dégradée et le rebond en Chine s'est estompé », analyse l’institution pour expliquer le ralentissement attendu.