L'acquis de croissance enregistré par la France depuis le début de l'année, c'est à dire la hausse du produit intérieur brut sur l'ensemble de 2017 si la croissance était nulle pendant le second semestre, s'établit déjà à 1,3%. Et la performance finale de la machine économique française devrait être au-delà, l'Insee prévoyant en effet une croissance de 0,5% au troisième trimestre, et de 0,4% au dernier trimestre.
La hausse robuste du PIB du second trimestre est surtout le fait de la hausse de la consommation des ménages, pilier traditionnel pour la bonne santé de la croissance. Les Français ont augmenté leurs dépenses de 0,7% au mois de juillet, après une baisse en juin et deux hausses consécutives les mois précédents. Ce résultat est meilleur que les estimations des économistes, qui tablaient une progression de 0,6% de la consommation des ménages en juillet. Par contre, la consommation d'énergie recule de 0,5% pour le mois dernier, notamment pour l'essence et le fioul.
Cette tendance à la hausse pour la croissance est aussi le fait de la progression des exportations : le printemps leur a été favorable avec une croissance de 2,5%, contre une baisse de 0,9% durant les trois premiers mois de l'année. Quant aux importations, elles ont certes augmenté (de 0,4%), mais moins qu'au premier trimestre (+1,1%).
La hausse robuste du PIB du second trimestre est surtout le fait de la hausse de la consommation des ménages, pilier traditionnel pour la bonne santé de la croissance. Les Français ont augmenté leurs dépenses de 0,7% au mois de juillet, après une baisse en juin et deux hausses consécutives les mois précédents. Ce résultat est meilleur que les estimations des économistes, qui tablaient une progression de 0,6% de la consommation des ménages en juillet. Par contre, la consommation d'énergie recule de 0,5% pour le mois dernier, notamment pour l'essence et le fioul.
Cette tendance à la hausse pour la croissance est aussi le fait de la progression des exportations : le printemps leur a été favorable avec une croissance de 2,5%, contre une baisse de 0,9% durant les trois premiers mois de l'année. Quant aux importations, elles ont certes augmenté (de 0,4%), mais moins qu'au premier trimestre (+1,1%).