L’Institut national des statistiques a calculé un taux de chômage à 9,9% au terme du second trimestre. Si on retire les chiffres des DOM, le chômage en France métropolitaine descend même à 9,6%. Le taux a baissé de 0,3 point d’un trimestre à l’autre, et même de 0,5 point sur un an. Dans le détail, les 0,3 point de différence entre les deux derniers trimestres correspondent à une baisse de 74 000 chômeurs. En tout, l’Insee a mesuré 2,8 millions de personnes sans emploi au deuxième trimestre.
Ces résultats pourraient étonner alors que les chiffres du chômage sont en hausse ces deux derniers mois. Mais les résultats donnés par l’Insee s’entendent au sens du BIT (Bureau international du travail), dont la méthode de calcul diffère ; néanmoins, ces chiffres montrent une tendance nette au reflux, ce qui devrait avoir un impact sur les résultats mensuels donnés par le ministère du Travail.
Toutefois, les personnes qui souhaitent occuper un emploi sans être prises en compte par la méthode de calcul du BIT sont en progression : elles sont 29 000 de plus au deuxième trimestre, et 43 000 sur un an. Le « sous emploi », une catégorie dans laquelle le Bureau range les les personnes à temps partiel qui voudraient travailler davantage, augmente de 0,3 point à 6,7%.
Ces résultats pourraient étonner alors que les chiffres du chômage sont en hausse ces deux derniers mois. Mais les résultats donnés par l’Insee s’entendent au sens du BIT (Bureau international du travail), dont la méthode de calcul diffère ; néanmoins, ces chiffres montrent une tendance nette au reflux, ce qui devrait avoir un impact sur les résultats mensuels donnés par le ministère du Travail.
Toutefois, les personnes qui souhaitent occuper un emploi sans être prises en compte par la méthode de calcul du BIT sont en progression : elles sont 29 000 de plus au deuxième trimestre, et 43 000 sur un an. Le « sous emploi », une catégorie dans laquelle le Bureau range les les personnes à temps partiel qui voudraient travailler davantage, augmente de 0,3 point à 6,7%.