cc/flickr/vlauria
Durant plusieurs mois diverses offres ont fait l’aller-retour entre les bureaux de Pfizer et ceux d’AstraZeneca. Dernière en date, le 18 mai 2014, une offre qui mettait sur la table 117 milliards de dollars pour que les deux entités fusionnent. Mais AstraZeneca a répondu un « non » sec estimant que la somme ne valait pas le potentiel de la firme.
Selon AstraZeneca par cette offre Pfizer ne prendrait pas en compte le potentiel commercial des diverses molécules encore en phase de recherche sur lesquelles le groupe britannique met beaucoup d’espoirs. Notamment, divers traitement contre le cancer seraient en préparation, un domaine pharmaceutique d’avant-garde avec un fort potentiel commercial et sanitaire.
AstraZeneca a toujours estimé que la volonté profonde qui justifiait, chez Pfizer, cette tentative de rachat était la possibilité de délocaliser le siège social au Royaume-Uni et ainsi de bénéficier de la fiscalité avantageuse du pays, plus que réellement une volonté de créer une nouvelle entité dans le secteur pharmaceutique.
Ainsi, dans un communiqué, Pfizer a annoncé qu’elle n’allait pas faire de nouvelle offre estimant que « notre dernière proposition était définitive et représentait la valeur réelle d’AstraZeneca d’après les informations disponibles ».
Le groupe américain a donc décidé d’abandonner toute tentative de fusion et a annoncé ne pas prendre en compte une tentative d’OPA hostile, ce qui serait allé à l’encontre de la volonté du conseil d’administration d’AstraZeneca.
Selon AstraZeneca par cette offre Pfizer ne prendrait pas en compte le potentiel commercial des diverses molécules encore en phase de recherche sur lesquelles le groupe britannique met beaucoup d’espoirs. Notamment, divers traitement contre le cancer seraient en préparation, un domaine pharmaceutique d’avant-garde avec un fort potentiel commercial et sanitaire.
AstraZeneca a toujours estimé que la volonté profonde qui justifiait, chez Pfizer, cette tentative de rachat était la possibilité de délocaliser le siège social au Royaume-Uni et ainsi de bénéficier de la fiscalité avantageuse du pays, plus que réellement une volonté de créer une nouvelle entité dans le secteur pharmaceutique.
Ainsi, dans un communiqué, Pfizer a annoncé qu’elle n’allait pas faire de nouvelle offre estimant que « notre dernière proposition était définitive et représentait la valeur réelle d’AstraZeneca d’après les informations disponibles ».
Le groupe américain a donc décidé d’abandonner toute tentative de fusion et a annoncé ne pas prendre en compte une tentative d’OPA hostile, ce qui serait allé à l’encontre de la volonté du conseil d’administration d’AstraZeneca.