Actuellement les trains ne sont affichés que 20 minutes avant le départ ce qui, lors des périodes de départs en vacances, peut causer quelques couacs : les voyageurs se retrouvent coincés à essayer de monter sur les trains. De quoi entraîner quelques minutes de retard au démarrage, minutes qui parfois se transforment en dizaines de minutes au terminus si le souci se répète régulièrement.
La SNCF teste donc l’impact d’un affichage des voies en gare 30 minutes avant le départ, au lieu de 20. pour les trains déjà à quai, les premiers ciblés par ce changement, ça implique que les voyageurs ont 10 minutes de plus pour s’installer. Au final ça devrait permettre d’éviter des départs en retard.
La SNCF est consciente de ce que cette amélioration peut apporter : « Un train qui part à l'heure est un train qui a plus de chances d'arriver à l'heure. Grâce à cette nouvelle organisation nous espérons que nous pourrons fermer les portes quelques secondes avant l'heure prévue et partir à ‘heure zéro' » estime le transporteur public.
Pour l’instant seuls les trains à fort taux d’occupation bénéficient de ce changement et ce sur les seules deux gares parisiennes suscitées. Mais si l’impact est positif et que la régularité est améliorée, il y a fort à parier que cette nouvelle pratique sera adaptée à toutes les gares où elle a un intérêt, essentiellement les « gares d’origine » comme les appelle la SNCF soit les gares où les trains débutent leur voyage et ne sont pas simplement de passage.
La SNCF teste donc l’impact d’un affichage des voies en gare 30 minutes avant le départ, au lieu de 20. pour les trains déjà à quai, les premiers ciblés par ce changement, ça implique que les voyageurs ont 10 minutes de plus pour s’installer. Au final ça devrait permettre d’éviter des départs en retard.
La SNCF est consciente de ce que cette amélioration peut apporter : « Un train qui part à l'heure est un train qui a plus de chances d'arriver à l'heure. Grâce à cette nouvelle organisation nous espérons que nous pourrons fermer les portes quelques secondes avant l'heure prévue et partir à ‘heure zéro' » estime le transporteur public.
Pour l’instant seuls les trains à fort taux d’occupation bénéficient de ce changement et ce sur les seules deux gares parisiennes suscitées. Mais si l’impact est positif et que la régularité est améliorée, il y a fort à parier que cette nouvelle pratique sera adaptée à toutes les gares où elle a un intérêt, essentiellement les « gares d’origine » comme les appelle la SNCF soit les gares où les trains débutent leur voyage et ne sont pas simplement de passage.