L'avion de combat, un Mirage III version E, a bien sûr été construit par les usines Dassault dans les années 60 ; il est à la retraite depuis 21 ans, et mis aux enchères. Les estimations annonçaient un prix de vente compris entre 30 000 et 50 000 euros, mais finalement l'avion a été acquis 106 675 euros par l'industriel.
Serge Dassault a eu le dessus sur un groupe de passionnés de l'armée, des artistes, ainsi qu'un collectionneur souhaitant installer l'avion dans un parc. C'est un passionné qui a acquis l'appareil en 2005 pour l'euro symbolique. Son premier vol date de 1961 ; il a fini sa carrière au sein de l'escadrille des Ardennes, puis il a cessé de voler en 1995. Depuis 2005, l'avion était entreposé dans un hangar de Mandelieu-la-Napoule, dans les Alpes-Maritimes.
Ce Mirage III est fourni sans armes ni réacteur, et ses ailes ont été démontées. L'armée française a reçu en tout et pour 183 Mirage III E tout au long de la carrière de ces avions de combat à même de transporter des armes nucléaires.
Serge Dassault a eu le dessus sur un groupe de passionnés de l'armée, des artistes, ainsi qu'un collectionneur souhaitant installer l'avion dans un parc. C'est un passionné qui a acquis l'appareil en 2005 pour l'euro symbolique. Son premier vol date de 1961 ; il a fini sa carrière au sein de l'escadrille des Ardennes, puis il a cessé de voler en 1995. Depuis 2005, l'avion était entreposé dans un hangar de Mandelieu-la-Napoule, dans les Alpes-Maritimes.
Ce Mirage III est fourni sans armes ni réacteur, et ses ailes ont été démontées. L'armée française a reçu en tout et pour 183 Mirage III E tout au long de la carrière de ces avions de combat à même de transporter des armes nucléaires.