On a beau s’appeler Pfizer, avoir inventé le Viagra et être l’un des leaders mondiaux dans le domaine pharmaceutique, on n’a pas toujours tout ce que l’on veut. C’est la leçon qu’est en train d’apprendre, à ses dépens, le groupe américain qui ne réussit pas à convaincre son concurrent britannique, AstraZeneca, de se laisser racheter.
Depuis que le dossier du potentiel rachat est sorti au grand jour, ce ne sont pas moins de 4 offres différentes qu’AstraZeneca rejette. La première, en janvier 2014, valorisait le groupe britannique à 72 milliards d’euros. Puis ce fut le tour de l’offre à 77 milliards d’euros début mai 2014, d’une autre à la mi-mai et finalement, ce dimanche 18 mai 2014, la dernière offre en date : 86 milliards d’euros.
A chaque fois, AstraZeneca a refusé de se laisser racheter. Et les raisons invoquées par le laboratoire pharmaceutique britannique sont diverses et variées mais vont toutes dans le même sens : la tentative de rachat de Pfizer est opportuniste et ne valorise pas le groupe de manière assez élevée.
Pour AstraZeneca c’est simple : Pfizer veut la racheter pour délocaliser son domicile fiscal au Roayume-Uni où la fiscalité est plus avantageuse par rapport aux Etats-Unis. C’est dans ce but que l’offre est faite et elle oublie donc de prendre en compte les molécules en développement du groupe britannique. De fait, le futur d’AstraZeneca et les potentiels médicaments qui pourraient sortir de ses laboratoires, notamment en oncologie, sont laissés de côté.
Depuis que le dossier du potentiel rachat est sorti au grand jour, ce ne sont pas moins de 4 offres différentes qu’AstraZeneca rejette. La première, en janvier 2014, valorisait le groupe britannique à 72 milliards d’euros. Puis ce fut le tour de l’offre à 77 milliards d’euros début mai 2014, d’une autre à la mi-mai et finalement, ce dimanche 18 mai 2014, la dernière offre en date : 86 milliards d’euros.
A chaque fois, AstraZeneca a refusé de se laisser racheter. Et les raisons invoquées par le laboratoire pharmaceutique britannique sont diverses et variées mais vont toutes dans le même sens : la tentative de rachat de Pfizer est opportuniste et ne valorise pas le groupe de manière assez élevée.
Pour AstraZeneca c’est simple : Pfizer veut la racheter pour délocaliser son domicile fiscal au Roayume-Uni où la fiscalité est plus avantageuse par rapport aux Etats-Unis. C’est dans ce but que l’offre est faite et elle oublie donc de prendre en compte les molécules en développement du groupe britannique. De fait, le futur d’AstraZeneca et les potentiels médicaments qui pourraient sortir de ses laboratoires, notamment en oncologie, sont laissés de côté.