Suite à la révélation du « dieselgate », une mission parlementaire a été créée l'an dernier, qui a rendu son rapport ce mercredi 12 octobre. Parmi les quelques 120 propositions qu'il contient, on en retiendra en particulier deux.
La plus importante de ces propositions est, sans doute, de supprimer les avantages fiscaux attachés au diesel. Il s'agit d’organiser une « rupture définitive » avec l’automobile « polluante et nocive », au travers d'un partenariat avec les constructeurs pour supprimer ces avantages dans les cinq années à venir. La convergence des prix entre le gazole et l'essence, c'est le but, écrit la commission.
Mais c'est surtout à l'échelon supérieur, c'est à dire au niveau européen, qu'il convient d'agir. Notamment en remodelant complètement le cadre réglementaire au niveau du continent, en mettant sur pied une norme Euro7 unique, qui comprendrait « tous les paramètres de pollution ». Des contrôles « drastiques » devront être mis en place pour éviter le non respect des normes, c'est à dire les pratiques « d'optimisation » des constructeurs automobiles durant les test anti-pollution.
Charge maintenant au gouvernement de reprendre ces propositions à son compte. En ce début de campagne électorale, cela parait malheureusement un peu compromis, mais qui sait ?
La plus importante de ces propositions est, sans doute, de supprimer les avantages fiscaux attachés au diesel. Il s'agit d’organiser une « rupture définitive » avec l’automobile « polluante et nocive », au travers d'un partenariat avec les constructeurs pour supprimer ces avantages dans les cinq années à venir. La convergence des prix entre le gazole et l'essence, c'est le but, écrit la commission.
Mais c'est surtout à l'échelon supérieur, c'est à dire au niveau européen, qu'il convient d'agir. Notamment en remodelant complètement le cadre réglementaire au niveau du continent, en mettant sur pied une norme Euro7 unique, qui comprendrait « tous les paramètres de pollution ». Des contrôles « drastiques » devront être mis en place pour éviter le non respect des normes, c'est à dire les pratiques « d'optimisation » des constructeurs automobiles durant les test anti-pollution.
Charge maintenant au gouvernement de reprendre ces propositions à son compte. En ce début de campagne électorale, cela parait malheureusement un peu compromis, mais qui sait ?