La holding, qui veut développer un pôle « jeu vidéo » correspondant à sa nouvelle stratégie médias, a bien l'intention de croquer un des plus importants éditeurs du secteur. Ubisoft compte en effet d'innombrables franchises à fort potentiel (Les Lapins crétins, Assassin's Creed…) et adossé à Gameloft, leader sur le marché du jeu mobile, c'est une entreprise très intéressante pour Vivendi.
Ce vendredi 17 juin, Vivendi a annoncé le franchissement du seuil de 20% du capital d'Ubisoft, plus précisément 20,1% (et 17,7% des droits de vote). Ces actions, financées à même sa trésorerie, permettent au groupe de peser très sérieusement au sein d'Ubisoft, même si les frères Guillemot luttent de toutes leurs forces contre cette acquisition à marche forcée.
Vivendi veut continuer à poursuivre ses achats selon les conditions de marché, mais n'a pas (encore ?) l'intention de lancer une offre publique d'achat. C'est que « Vivendi continue de souhaiter l'établissement d'une collaboration fructueuse avec Ubisoft », explique le groupe de Vincent Bolloré… même si les propriétaires actuels d'Ubisoft n'en veulent pas. « L'investissement de Vivendi dans le secteur d'activité d'Ubisoft participe d'une vision stratégique de convergence opérationnelle entre les contenus et les plates-formes de Vivendi et les productions d'Ubisoft dans le domaine des jeux vidéos », poursuit la holding.
Ce vendredi 17 juin, Vivendi a annoncé le franchissement du seuil de 20% du capital d'Ubisoft, plus précisément 20,1% (et 17,7% des droits de vote). Ces actions, financées à même sa trésorerie, permettent au groupe de peser très sérieusement au sein d'Ubisoft, même si les frères Guillemot luttent de toutes leurs forces contre cette acquisition à marche forcée.
Vivendi veut continuer à poursuivre ses achats selon les conditions de marché, mais n'a pas (encore ?) l'intention de lancer une offre publique d'achat. C'est que « Vivendi continue de souhaiter l'établissement d'une collaboration fructueuse avec Ubisoft », explique le groupe de Vincent Bolloré… même si les propriétaires actuels d'Ubisoft n'en veulent pas. « L'investissement de Vivendi dans le secteur d'activité d'Ubisoft participe d'une vision stratégique de convergence opérationnelle entre les contenus et les plates-formes de Vivendi et les productions d'Ubisoft dans le domaine des jeux vidéos », poursuit la holding.