Avec près de 15% du capital de Gameloft, et autant en droits de vote, Amber Capital possède la clé qui ouvre la porte de l’éditeur à Vivendi. Le groupe de Vincent Bolloré possède déjà près de 30% du capital de Gameloft, et 26% de ses droits de vote. Avec le renfort du fonds britannique, il ne manquerait plus que 6% à Vivendi pour atteindre la majorité du capital de la société.
Pour attirer Amber Capital dans ses filets, Vivendi a dû revoir à la hausse son offre, qui est passée de 7,20 euros l’action, à8 euros le titre. Il semble donc désormais clair que Vincent Bolloré est à deux doigts de remporter la partie au grand dam de la famille Guillemot, qui possède 30% des droits de vote dans le studio qu’elle a fondée.
Mais l’offensive de Vivendi ne va pas s’arrêter là. Le groupe a une proie plus importante en vue : Ubisoft, un des leaders mondiaux de l’industrie du jeu vidéo, véritable poids lourds dont les succès récents le maintiennent à une distance prudente de l’appétit dévorant de Vivendi… pour le moment. La société possède actuellement près de 18% du capital d’Ubisoft, pour 15% des droits de vote. Et la volonté ferme de Vincent Bolloré de créer une activité « jeu vidéo » stratégique au sein de Vivendi semble impossible à arrêter.
Pour attirer Amber Capital dans ses filets, Vivendi a dû revoir à la hausse son offre, qui est passée de 7,20 euros l’action, à8 euros le titre. Il semble donc désormais clair que Vincent Bolloré est à deux doigts de remporter la partie au grand dam de la famille Guillemot, qui possède 30% des droits de vote dans le studio qu’elle a fondée.
Mais l’offensive de Vivendi ne va pas s’arrêter là. Le groupe a une proie plus importante en vue : Ubisoft, un des leaders mondiaux de l’industrie du jeu vidéo, véritable poids lourds dont les succès récents le maintiennent à une distance prudente de l’appétit dévorant de Vivendi… pour le moment. La société possède actuellement près de 18% du capital d’Ubisoft, pour 15% des droits de vote. Et la volonté ferme de Vincent Bolloré de créer une activité « jeu vidéo » stratégique au sein de Vivendi semble impossible à arrêter.