© Shutterstock/EconomieMatin
Volkswagen avait en effet proposé que les automobilistes équipés des voitures diesel embarquant le logiciel frauduleux puissent, sur la base du volontariat, se rendre dans un garage afin de faire les réparations qui s'imposaient. La KBA, l'autorité qui gère les affaires du secteur de l'automobile outre-Rhin, a rejeté en bloc cette proposition qui exonérait une partie de la responsabilité du constructeur.
La KBA exige donc de Volkswagen que l'entreprise procède au rappel de 2,4 millions de véhicules en Allemagne, afin de revoir le logiciel des voitures en question, à l'origine de la fraude aux tests anti-pollution. Si l'autorité a tapé du poing sur la table, le constructeur précise par ailleurs n'avoir reçu aucune instruction de sa part. Peut-être est-il revenu à de meilleurs sentiments.
Par contre, le communiqué du groupe publié peu après la décision de la KBA, prend bien en compte ces 2,4 millions de véhicules, ce qui porte le total à 8,5 millions pour l'Europe (dont un peu moins d'un million pour la France). Jusqu'alors, Volkswagen s'était contenté d'annoncer 8 millions de voitures, sur les 11 millions vendues dans le monde. Les rappels débuteront dès le 2 janvier.
La KBA exige donc de Volkswagen que l'entreprise procède au rappel de 2,4 millions de véhicules en Allemagne, afin de revoir le logiciel des voitures en question, à l'origine de la fraude aux tests anti-pollution. Si l'autorité a tapé du poing sur la table, le constructeur précise par ailleurs n'avoir reçu aucune instruction de sa part. Peut-être est-il revenu à de meilleurs sentiments.
Par contre, le communiqué du groupe publié peu après la décision de la KBA, prend bien en compte ces 2,4 millions de véhicules, ce qui porte le total à 8,5 millions pour l'Europe (dont un peu moins d'un million pour la France). Jusqu'alors, Volkswagen s'était contenté d'annoncer 8 millions de voitures, sur les 11 millions vendues dans le monde. Les rappels débuteront dès le 2 janvier.
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