Shutterstock/Economiematin
Si la bonne nouvelle est que Safari va enfin accepter des extensions comme le font déjà Firefox et Chrome, la nouvelle version d'iOS, iOS 9, intègrera un grand changement pour toutes les entreprises dont le business model est basé sur la publicité en ligne : les bloqueurs de publicités pourraient être autorisés.
Naturellement on pense de suite à AdBlock : le logiciel qui se vante d'avoir près de 150 millions d'utilisateurs est une épine dans le pied des annonceurs et des sites web. Surtout des sites web, notamment, qui gagnent de l'argent lorsqu'une publicité s'ouvre sur la page de l'utilisateur : Adblock réduit à néant leurs recette publicitaires mettant directement en péril l'existence des sites.
Les sites en souffrent tellement, surtout les éditeurs de presse, qu'en Allemagne une action en justice avait été intentée contre AdBlock. Mais la justice a finalement donné raison à l'entreprise à l'origine de l'extension.
Ce qui risque de faire peur aux éditeurs va faire plaisir à Adblock : l'entreprise est en effet payée par les grands groupes, comme Google, Microsoft ou encore Amazon, pour figurer sur une liste blanche et voir ses publicités affichées. Google et les autres qualifient cette pratique d'extorsion mais sans cette liste blanche Google perdrait quelques 3,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires par an.
Naturellement on pense de suite à AdBlock : le logiciel qui se vante d'avoir près de 150 millions d'utilisateurs est une épine dans le pied des annonceurs et des sites web. Surtout des sites web, notamment, qui gagnent de l'argent lorsqu'une publicité s'ouvre sur la page de l'utilisateur : Adblock réduit à néant leurs recette publicitaires mettant directement en péril l'existence des sites.
Les sites en souffrent tellement, surtout les éditeurs de presse, qu'en Allemagne une action en justice avait été intentée contre AdBlock. Mais la justice a finalement donné raison à l'entreprise à l'origine de l'extension.
Ce qui risque de faire peur aux éditeurs va faire plaisir à Adblock : l'entreprise est en effet payée par les grands groupes, comme Google, Microsoft ou encore Amazon, pour figurer sur une liste blanche et voir ses publicités affichées. Google et les autres qualifient cette pratique d'extorsion mais sans cette liste blanche Google perdrait quelques 3,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires par an.