Les réserves iranienne en pétrole sont très importantes mais la production a chuté fortement à la suite de l’adoption des diverses sanctions de la part de l’Europe et des Etats-Unis. Actuellement, le pays ne produit plus que 3 millions de barils de pétrole par jour.
Mais la situation pourrait rapidement évoluer puisqu’actuellement des discussions entre l’Iran et les grandes puissances mondiales sont en cours afin de lever ces sanctions et autoriser de nouveau le commerce. Les discussions devraient recommencer le 18 février 2014 et les autorités iraniennes sont confiantes : la crise du nucléaire pourrait trouver une solution et les sanctions pourraient être levées.
Or, selon Medhi Hosseini, qui dirige le comité de rédaction des nouveaux contrats, l’Iran aurait besoin de quelques 150 milliards de dollars d’investissements pour développer son industrie pétrolière. Pour attirer les investisseurs étrangers et surtout les grands groupes, les contrats Buy-Back seront abandonnés au profit de contrats plus égalitaires.
Les contrats Buy-Back n’étaient pas favorables aux sociétés étrangères qui étaient donc réticentes à investir dans le pays : « La réalité est que ces contrats étaient à sens unique, à l'avantage de l'Iran, et les sociétés étrangères s'en plaignaient » a affirmé M. Hosseini.
Le comité de rédaction va donc s’employer a créer de nouveaux contrats semblables à ceux des autres pays du monde. Le nouveau contrat « prévoit le maximum de souplesse dans tous les domaines -les opérations, la coopération, la bureaucratie -qui était quelquefois un frein durant l'application du contrat-, les investissements et leurs plafonds... » a déclaré le responsable.
Mais la situation pourrait rapidement évoluer puisqu’actuellement des discussions entre l’Iran et les grandes puissances mondiales sont en cours afin de lever ces sanctions et autoriser de nouveau le commerce. Les discussions devraient recommencer le 18 février 2014 et les autorités iraniennes sont confiantes : la crise du nucléaire pourrait trouver une solution et les sanctions pourraient être levées.
Or, selon Medhi Hosseini, qui dirige le comité de rédaction des nouveaux contrats, l’Iran aurait besoin de quelques 150 milliards de dollars d’investissements pour développer son industrie pétrolière. Pour attirer les investisseurs étrangers et surtout les grands groupes, les contrats Buy-Back seront abandonnés au profit de contrats plus égalitaires.
Les contrats Buy-Back n’étaient pas favorables aux sociétés étrangères qui étaient donc réticentes à investir dans le pays : « La réalité est que ces contrats étaient à sens unique, à l'avantage de l'Iran, et les sociétés étrangères s'en plaignaient » a affirmé M. Hosseini.
Le comité de rédaction va donc s’employer a créer de nouveaux contrats semblables à ceux des autres pays du monde. Le nouveau contrat « prévoit le maximum de souplesse dans tous les domaines -les opérations, la coopération, la bureaucratie -qui était quelquefois un frein durant l'application du contrat-, les investissements et leurs plafonds... » a déclaré le responsable.