Par le biais de Swift, en février 2016, des pirates ont procédé au virement de 81 millions de dollars des comptes de la banque centrale du Bangladesh situés au sein de la FED. Le piratage aurait pu coûter plus d'un milliard de dollars si une erreur d'orthographe n'avait pas été identifiée dans l'ordre de virement.
Ces ordres ont été lancés par le biais de la messagerie interbancaire Swift qui, dans un communiqué publié lundi 25 avril 2016, annonce qu'il est ossible qu'il existe une faille dans son système. L'entreprise basée à Bruxelles a lancé les opérations de sécurité afin de l'identifier et, le cas échéant, la neutraliser... mais elle en appelle à la vigilance des banques.
Selon l'entreprise spécialisée FireEye, que la banque du Bangladesh a chargée de mener l'enquête, plusieurs autres faux virements ont pu déjà avoir été lancés par le biais de Swift. L'inquiétude dans le secteur bancaire est donc grande et les banques utilisant les services de Swift, près de 11 000 dans le monde, sont invitées à relever leurs niveaux d'alerte.
Toutefois, il faut préciser que si l'inquiétude existe, dans le cadre du piratage de la banque du Bangladesh, cette dernière est également en cause. L'enquête a révélé que la banque ne possédait pas de pare-feu informatique et qu'elle utilisait du matériel vétuste.
Ces ordres ont été lancés par le biais de la messagerie interbancaire Swift qui, dans un communiqué publié lundi 25 avril 2016, annonce qu'il est ossible qu'il existe une faille dans son système. L'entreprise basée à Bruxelles a lancé les opérations de sécurité afin de l'identifier et, le cas échéant, la neutraliser... mais elle en appelle à la vigilance des banques.
Selon l'entreprise spécialisée FireEye, que la banque du Bangladesh a chargée de mener l'enquête, plusieurs autres faux virements ont pu déjà avoir été lancés par le biais de Swift. L'inquiétude dans le secteur bancaire est donc grande et les banques utilisant les services de Swift, près de 11 000 dans le monde, sont invitées à relever leurs niveaux d'alerte.
Toutefois, il faut préciser que si l'inquiétude existe, dans le cadre du piratage de la banque du Bangladesh, cette dernière est également en cause. L'enquête a révélé que la banque ne possédait pas de pare-feu informatique et qu'elle utilisait du matériel vétuste.