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Manuel Valls était au siège de la Commission européenne ce mercredi 18 mars 2015. Une première depuis sa prise de fonctions en tant que Premier ministre. Et il y allait avec, pour toile de fond, la demande de 30 milliards d'euros d'économies supplémentaires demandés à la France par Bruxelles afin de respecter ses engagements budgétaires.
Pour Manuel Valls, et donc pour le gouvernement, il n'en est pas question : "tout effort qui affaiblirait la croissance", donc tout effort supplémentaire, sera refusé. Une annonce claire et précise que le Premier ministre a faite en présence de Jean-Claude Juncker, le nouveau président de la Commission, présent pour l'occasion.
Manuel Valls a défendu cependant les réformes engagées par le gouvernement parmi lesquelles la Loi Macron, le Pacte de Responsabilité dont la mise en place se fait lentement, et la Réforme territoriale qui devrait réduire les dépenses de l'Etat et des collectivités. Le gouvernement français a toujours clamé que ces réformes, couplées aux économies déjà annoncées, seront suffisantes pour relancer la croissance et réduire le déficit public.
"Rien n'interrompra l'élan des réformes qui a été engagé, j'y veillerai jusqu'au dernier jour de mon mandat" a déclaré le Premier ministre qui n'a toutefois pas manqué de rassurer la Commission : la France "tiendra ses engagements budgétaires".
Une nécessité puisque la France a déjà obtenu un troisième délai pour se mettre en conformité avec le Pacte de Stabilité et qu'il est difficile que la Commission vote en faveur d'un quatrième délai de trois ans le cas échéant.
Pour Manuel Valls, et donc pour le gouvernement, il n'en est pas question : "tout effort qui affaiblirait la croissance", donc tout effort supplémentaire, sera refusé. Une annonce claire et précise que le Premier ministre a faite en présence de Jean-Claude Juncker, le nouveau président de la Commission, présent pour l'occasion.
Manuel Valls a défendu cependant les réformes engagées par le gouvernement parmi lesquelles la Loi Macron, le Pacte de Responsabilité dont la mise en place se fait lentement, et la Réforme territoriale qui devrait réduire les dépenses de l'Etat et des collectivités. Le gouvernement français a toujours clamé que ces réformes, couplées aux économies déjà annoncées, seront suffisantes pour relancer la croissance et réduire le déficit public.
"Rien n'interrompra l'élan des réformes qui a été engagé, j'y veillerai jusqu'au dernier jour de mon mandat" a déclaré le Premier ministre qui n'a toutefois pas manqué de rassurer la Commission : la France "tiendra ses engagements budgétaires".
Une nécessité puisque la France a déjà obtenu un troisième délai pour se mettre en conformité avec le Pacte de Stabilité et qu'il est difficile que la Commission vote en faveur d'un quatrième délai de trois ans le cas échéant.