Dans les faits, il suffit de se rendre dans une boulangerie partenaire et d’y tendre ses vieux pour recevoir en retour des Carambar. Un bonbon = un franc, c’est aussi simple que cela. Une façon élégante d’écouler des pièces et des billets qui ne peuvent plus être échangés contre des euros depuis le 18 février 2012. Les Français en auraient conservé, sous forme de bas de laine ou dans des matelas, 55 millions — ce qui représente une valeur de 526 millions d’euros tout de même.
Carambar, détenu par le géant de l’agro-alimentaire Mondelez International, reversera le produit de cette récolte à Rire Médecin, « première association de clowns professionnels à l'hôpital, dont la mission est de redonner le sourire aux enfants hospitalisés ». Chaque visite de deux clowns à un enfant coûte 15 euros, et évidemment Carambar versera à l’association non pas des francs, mais… des euros.
Et si on n’a plus un francs en poche, il est toujours possible de participer : soit en postant une photo sur le site web organisateur, soit en postant sur Twitter une « blague à 1 franc » dont les amateurs de Carambar sont friands : il les retrouve en effet imprimées dans les emballages de Carambar… Chaque photo ou tweet générera un franc supplémentaire pour l’association.
Carambar, détenu par le géant de l’agro-alimentaire Mondelez International, reversera le produit de cette récolte à Rire Médecin, « première association de clowns professionnels à l'hôpital, dont la mission est de redonner le sourire aux enfants hospitalisés ». Chaque visite de deux clowns à un enfant coûte 15 euros, et évidemment Carambar versera à l’association non pas des francs, mais… des euros.
Et si on n’a plus un francs en poche, il est toujours possible de participer : soit en postant une photo sur le site web organisateur, soit en postant sur Twitter une « blague à 1 franc » dont les amateurs de Carambar sont friands : il les retrouve en effet imprimées dans les emballages de Carambar… Chaque photo ou tweet générera un franc supplémentaire pour l’association.