La chute du chômage en Espagne « n’est pas due à la chance » estime le secrétaire d’état chargé de la sécurité Sociale, Tomas Burgos, mais bien des efforts qu’on fait les espagnols, de plans d’austérité auxquels ils ont dû se plier et à l’aide européenne. « C’est le résultat de circonstances diverses liées à la confiance économique ».
Après la sortie de la période de récession à la fin du troisième trimestre 2013 et malgré une croissance qui reste toujours très faible (+0,1%) ce premier signe de reprise est fort de symbolique. Avec une baisse de 2,24% des demandeurs d’emplois (soit près de 107 570 chômeurs de moins dans le pays) le mois de décembre 2013 a été le meilleur depuis décembre 2001.
Notamment, ce qui est encourageant, c’est que la chute des chômeurs a aussi impacté les jeunes de moins de 25 ans, normalement les plus touchés en ces périodes de crise. Mais le gouvernement de Mariano Rajoy ne s’assoit pas sur ses lauriers.
Malgré une prévision de croissance de 0,7% pour 2014, le gouvernement espagnol est bien conscient que la reprise n’est pas encore suffisante pour créer des emplois en masse et il ne s’attend pas à ce que les quelques 4,7 millions de chômeurs retrouvent rapidement tous un travail. Un nombre qui reste très élevé puisque cela représente près de 26% de la population espagnole, dont 54,4% des jeunes de 15 à 24 ans.
Mais le gouvernement peut déjà se féliciter de voir là les premiers résultats de ses plans d’économies drastiques qui prévoient une rigueur forte permettant à l’état de faire 150 milliards d’euros d’économies entre 2012 et 2014.
Après la sortie de la période de récession à la fin du troisième trimestre 2013 et malgré une croissance qui reste toujours très faible (+0,1%) ce premier signe de reprise est fort de symbolique. Avec une baisse de 2,24% des demandeurs d’emplois (soit près de 107 570 chômeurs de moins dans le pays) le mois de décembre 2013 a été le meilleur depuis décembre 2001.
Notamment, ce qui est encourageant, c’est que la chute des chômeurs a aussi impacté les jeunes de moins de 25 ans, normalement les plus touchés en ces périodes de crise. Mais le gouvernement de Mariano Rajoy ne s’assoit pas sur ses lauriers.
Malgré une prévision de croissance de 0,7% pour 2014, le gouvernement espagnol est bien conscient que la reprise n’est pas encore suffisante pour créer des emplois en masse et il ne s’attend pas à ce que les quelques 4,7 millions de chômeurs retrouvent rapidement tous un travail. Un nombre qui reste très élevé puisque cela représente près de 26% de la population espagnole, dont 54,4% des jeunes de 15 à 24 ans.
Mais le gouvernement peut déjà se féliciter de voir là les premiers résultats de ses plans d’économies drastiques qui prévoient une rigueur forte permettant à l’état de faire 150 milliards d’euros d’économies entre 2012 et 2014.