Mais d’ores et déjà, ce sont plusieurs dizaines de lignes qui sont déjà ouvertes ou en passe de l’être, en anticipation de la loi et à titre expérimental. La libéralisation de ce secteur est une excellente affaire pour les transporteurs qui vont pouvoir tester des transports entre des villes moyennes délaissées par le train, ainsi que des lignes nocturnes et des liaisons entre aéroports.
Le ministère de l’Économie espère la création de 2 000 à 3 000 emplois directs au cours des 18 prochains mois, « à laquelle s'ajoutera l'activité induite sur le tourisme et le commerce local ». À terme, ce sont 22 000 postes dans le secteur du transport routier qui pourraient se créer à l’horizon 2025. Sans oublier l’impact sur l’industrie française : les transporteurs vont effectivement devoir renforcer leurs flottes de cars.
Il leur faudra aussi multiplier les conducteurs. Emmanuel Macron et son homologue du Travail, François Rebsamen, ont l’intention de simplifier les conditions d’accès à la profession et faire sauter des obstacles comme la limite d’âge, « plus adaptée » affirment-ils.
Le ministère de l’Économie espère la création de 2 000 à 3 000 emplois directs au cours des 18 prochains mois, « à laquelle s'ajoutera l'activité induite sur le tourisme et le commerce local ». À terme, ce sont 22 000 postes dans le secteur du transport routier qui pourraient se créer à l’horizon 2025. Sans oublier l’impact sur l’industrie française : les transporteurs vont effectivement devoir renforcer leurs flottes de cars.
Il leur faudra aussi multiplier les conducteurs. Emmanuel Macron et son homologue du Travail, François Rebsamen, ont l’intention de simplifier les conditions d’accès à la profession et faire sauter des obstacles comme la limite d’âge, « plus adaptée » affirment-ils.