Le journal l’Express dans un article à paraître et que le site du journal Le Figaro a pu visionner en avant-première, ferait état d’un redressement fiscal reçu par Numericable le 17 février 2014. Un redressement fiscal ‘un montant de 36,3 millions d’euros soit plus de la moitié du bénéfice net de l’entreprise pour 2013 (65 millions d’euros).
Le 17 février, Numericable avait déjà contacté Vivendi dans le cadre du possible rachat de SFR (par ailleurs déjà intenté sans succès auparavant) mais la véritable guerre que se sont finalement livrés Numericable et Bouygues Telecom n’avait pas encore eu lieu.
Ce redressement fiscal n’a toutefois pas été caché par l’entreprise qui l’a, toujours selon l’Express, inséré dans ses comptes. Bercy lui reprocherait le non-paiement de la TVA entre 2006 et 2010 ainsi que « des charges de prestations de services contestées » selon l’Express cité par le Figaro.
Mais Bercy n’aurait pas seulement Numericable dans son collimateur. Patrick Drahi, son propriétaire via la holding Altice, serait également dans le viseur du fisc. Sa résidence fiscale suisse ne plaît guère au gouvernement et surtout à Arnaud Montebourg qui reprochait, aux micros d’Europe 1 le vendredi 14 mars 2014, le côté international de l’entreprise détenue par une holding luxembourgeoise, sa cotation à Amsterdam et la « participation personnelle [de Patrick Drahi » à Guernesey dans un paradis fiscal de Sa Majesté la reine d'Angleterre.
Le 17 février, Numericable avait déjà contacté Vivendi dans le cadre du possible rachat de SFR (par ailleurs déjà intenté sans succès auparavant) mais la véritable guerre que se sont finalement livrés Numericable et Bouygues Telecom n’avait pas encore eu lieu.
Ce redressement fiscal n’a toutefois pas été caché par l’entreprise qui l’a, toujours selon l’Express, inséré dans ses comptes. Bercy lui reprocherait le non-paiement de la TVA entre 2006 et 2010 ainsi que « des charges de prestations de services contestées » selon l’Express cité par le Figaro.
Mais Bercy n’aurait pas seulement Numericable dans son collimateur. Patrick Drahi, son propriétaire via la holding Altice, serait également dans le viseur du fisc. Sa résidence fiscale suisse ne plaît guère au gouvernement et surtout à Arnaud Montebourg qui reprochait, aux micros d’Europe 1 le vendredi 14 mars 2014, le côté international de l’entreprise détenue par une holding luxembourgeoise, sa cotation à Amsterdam et la « participation personnelle [de Patrick Drahi » à Guernesey dans un paradis fiscal de Sa Majesté la reine d'Angleterre.