Un premier bilan très négatif des soldes d’été 2020
Le bilan, réalisé par la CCI auprès de 300 commerçants parisiens, est très négatif. 61% des commerçants interrogés dans le cadre de cette enquête annuelle déclarent tout simplement qu’aucun effet positif sur leur chiffre d’affaires n’a découlé de la période des soldes. Or, les commerçants qui ont du fermer leurs boutiques pendant les deux mois de confinement, avaient l’espoir de sauver les meubles avec ces promotions. Mais les clients n’ont pas été au rendez-vous.
Ainsi, 90% des interrogés jugent que les soldes d’été 2020 auront finalement un résultat inférieur à ceux de 2019. En cause, entre autres, les mesures sanitaires imposées par le gouvernement. Didier Kling, président de la CCI Île-de-France, explique en effet dans les colonnes du Figaro que « c'est compliqué d'entrer dans les boutiques aujourd'hui, il ne faut pas être plus de trois, porter un masque, on ne peut pas essayer les produits ».
Ainsi, 90% des interrogés jugent que les soldes d’été 2020 auront finalement un résultat inférieur à ceux de 2019. En cause, entre autres, les mesures sanitaires imposées par le gouvernement. Didier Kling, président de la CCI Île-de-France, explique en effet dans les colonnes du Figaro que « c'est compliqué d'entrer dans les boutiques aujourd'hui, il ne faut pas être plus de trois, porter un masque, on ne peut pas essayer les produits ».
Le regret assumé du report des soldes d’été
Si les règles sanitaires ont joué en défaveur des commerçants, les soldes d’été 2020 ont surtout pâti de leur report. Initialement prévus pour fin juin 2020, ils ont été repoussés au 15 juillet 2020, sur demande d’une large partie des commerçants. Mais ces derniers affichent désormais leurs regrets. « La stratégie n’a pas été payante », commente Didier Kling dans les colonnes du Figaro.
Le report des soldes d’été de deux semaines a eu pour effet de décaler les soldes à un moment où les Parisiens ont quitté la capitale pour les lieux de villégiature.
Le report des soldes d’été de deux semaines a eu pour effet de décaler les soldes à un moment où les Parisiens ont quitté la capitale pour les lieux de villégiature.