François Rebsamen a donc confié qu'il a encore de l'espoir pour cette année 2015. De l'espoir de voir le chômage baisser. Interrogé sur RTL à ce sujet dans la matinée du mardi 10 février 2015 il a déclaré que " Ce que j'espère, c'est que le nombre de chômeurs diminuera à la fin de l'année". C'est donc le retour de la notion "d'inversion de la courbe du chômage" au gouvernement, même si le terme lui-même, désormais entaché de l'échec de François Hollande, n'est pas clairement exprimé.
Si François Rebsamen est confiant c'est grâce aux nouvelles prévisions de croissance, des prévisions qui ont été revues à la hausse. Grâce à la chute de l'euro face au dollar en ce début d'année et à la chute du prix du pétrole, en effet, la France devrait atteindre son objectif de croissance de 1% en 2015 : " On peut avoir, j'espère, avec la reprise économique, plus de 1% de croissance" a déclaré le ministre.
Mais il reste conscient qu'une croissance de 1% n'est pas suffisante. Les spécialistes estiment qu'en France pour que soient créés des emplois il faut un minimum de croissance de 1,5% chose que le pays ne devrait pas atteindre avant 2016 selon les dernières estimations du gouvernement et de Bruxelles.
Selon l'Unédic, d'ailleurs, en 2015 il devrait y avoir quelques 104 000 chômeurs de plus ce qui serait, au mieux, un ralentissement de l'augmentation du chômage mais pas une inversion de la courbe.
Si François Rebsamen est confiant c'est grâce aux nouvelles prévisions de croissance, des prévisions qui ont été revues à la hausse. Grâce à la chute de l'euro face au dollar en ce début d'année et à la chute du prix du pétrole, en effet, la France devrait atteindre son objectif de croissance de 1% en 2015 : " On peut avoir, j'espère, avec la reprise économique, plus de 1% de croissance" a déclaré le ministre.
Mais il reste conscient qu'une croissance de 1% n'est pas suffisante. Les spécialistes estiment qu'en France pour que soient créés des emplois il faut un minimum de croissance de 1,5% chose que le pays ne devrait pas atteindre avant 2016 selon les dernières estimations du gouvernement et de Bruxelles.
Selon l'Unédic, d'ailleurs, en 2015 il devrait y avoir quelques 104 000 chômeurs de plus ce qui serait, au mieux, un ralentissement de l'augmentation du chômage mais pas une inversion de la courbe.